Même si on entend un peu moins parlé de la Grèce depuis le début du mois de mars, la situation est encore très loin d'être stabilisée. Aujourd'hui encore, le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a annoncé qu'un "Grexident" (un mélange de sortie de la Grèce "Greece Exit" et "d'accident") ne pouvait pas être exclu. La situation grecque avec l'arrivée au pouvoir de Syriza fait planer des doutes sur l'Espagne, où le parti d'extrême gauche "Podemos" est selon les derniers sondages le "premier parti d'Espagne". Et des élections législatives auront lieu en Espagne à la fin de l'année... Alors, faut-il craindre un "SpainExident" aussi ? Réponses via deux articles : "Espagne: l'ascension fulgurante de Podemos menace la stabilité politique" (Crédit Agricole) et "La situation de l'Espagne est-elle comparable à celle de la Grèce ?" (Natixis)
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