Ô rage ! Ô désespoir ! La déflation en zone euro s'installe tranquillement (baisse des prix de 0,6% en janvier, après une baisse de 0,2% en décembre), la situation grecque revient au premier plan (renégociation de dette et assèchement la liquidité pour les banques grecques) et le Quantitative Easing ne permettra pas de relancer l'activité. Et pourtant ! Sur ces trois points, l'économiste Alexandre Delaigue nous explique dans l'article "Zone euro : trois raisons d'être optimiste pour 2015" pourquoi en réalité, la situation n'est peut-être pas aussi désespérée qu'elle n'en a l'air. La déflation est due en partie à la baisse du pétrole (bonne nouvelle), la Grèce, si elle quitte la zone Euro, mourra toute seule dans son coin (cool) et le Quantitative Easing permet de faire baisser l'euro (youhouuuu). Vous voyez qu'il faut rester optimiste !
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